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Invité | Sujet: rid of the monsters inside your head Dim 12 Avr - 17:32 | |
| isaac byrd when I discover who i am, i’ll be free
prénom et nom Prénom qui aurait fait rire. Être qui n'aurait pas dû être là, espoir qui était perdu, réalité qui s'était forgé sur un univers sans enfant. L'annonce de l'arrivée de l'enfant qui fait doucement rire, parce que c'est impossible. Parce que ça n'aurait pas dû arriver. Pourtant t'es là Isaac, bien trop présent dans ce monde. Patronyme qui fait étirer les lèvres, qui semble être une blague. Byrd, nom presque trop doux pour toi. Oiseau qui rêvait de liberté, qui s'est approché un peu trop fort du soleil et qui s'est brûlé les ailes. âge Tu ne peux plus tromper ton monde désormais. Le visage qui commence à être un peu trop marqué. Les coins des yeux, des lèvres qui commencent à se creuser, l'âge qui fait son œuvre. Décennie que t'as entamé depuis déjà quelques temps. Trente deux ans, faut que tu fasses attention la barbe commence à se blanchir doucement. lieu de naissance Gamin qui a failli naître dans un avion, qui a failli pousser son premier cri en plein ciel si la mère n'avait pas eu ces atroces douleurs qui l'ont fait rester à terre. Rien d'extraordinaire, de fantastique sur le lieu qui t'as accueilli. Melbourne, comme tes parents, comme le reste de ta famille. Pas de naissance entre deux continents au dessus de l'océan. origines et nationalité L'Australie qui coulent dans tes veines depuis des générations. Peut-être le sang de quelques colons italiens qui a bien dilué avec les années, avec les siècles. famille Spectre d'une famille qui semble planer sur toi. Parents toujours vivant, qui ont dû mal à se faire à l'idée qu'ils ont un enfant. Parents qui t'appellent pour souhaiter ton anniversaire, pour les fêtes. Parents qui sont vites partis quand tu pouvais subvenir à tes besoins, qui n'avaient plus besoin de traîner un poids derrière eux, qui pouvaient enfin profiter de cette liberté. Des parents qui sont là, qui t'ont laissé seul, sans frère ou sœur, du moins pas à ta connaissance. emploi, études T'étais quelqu'un avant, enfin tu voulais le devenir. L'envie de faire justice qui coulait dans tes veines, les superhéros qui t'ont sûrement trop monté à la tête. Justice que tu voulais faire régner, mais les études que tu ne voulais faire. Police que t'intègre, rêve qui se brise quand les ténèbres t'entoure. Piège qui se ferme sur toi, coupable idéale, réputation qui chute et la prison qui t'attends. Lumière du soleil que tu revois après quatre années, peine réduite pour bonne conduite. Autre carrière, cabinet de détective privé que t'ouvres avec ce qui te reste comme argent. statut civil T'es pas capable à avoir une relation stable. Esprit qui vrille à chaque fois, qui n'arrivent pas à s'attacher, à faire des promesses pour l'avenir, parce que t’arrives tout simplement pas à imaginer plus loin. Cœur qui paraît de glace, mais qui fond au moindre sourire en coin. Âme sœur que t'aimerait rencontrer un jour, mais pour l'instant t'es célibaaire. C'est peut-être mieux comme ça. orientation sexuelle Courbe féminine et masculine qui se sont bousculés dans tes draps, parce que ça ne t'importe peu. Pansexuel, c'est comme ça qu'on dit, que tu te défini, parce que tu ne fais pas de différence. groupe bonza
| traits de caractère attentionné, impulsif, obstiné, rancunier, curieux, râleur, patient, intrépide, protecteur, ambitieux cinq choses que tu aimes (( dessin )) Crayon qui glisse sur le papier, doigts qui se colorent un peu trop vite, la tête qui se vide. Bulle qui se créer autour de toi, calme dont tu as besoin, ta vie qui se met en pause durant quelques instants. Tu peux enfin respirer, tu peux juste être toi durant ce moment. (( musique )) Calme que tu n'aimes, bruit que tu dois avoir constamment autour de toi, même pour travailler. Ça t'aide apparemment. Doigts qui glissent sur les cordes d'une guitare, passion d'adolescent, t'as appris en autodidacte parce que tes parents voulaient pas t'inscrire à tes cours de musique, c'était trop cher d'après ce qu'ils disaient. (( étoiles )) Le ciel qui te fascine, regard d'enfant qui se pose sur le ciel étoilé. Tu pourrais passer des heures à l'observer à te question sur la grandeur de cet univers. Gamin qui rêvait de visiter l'espace, de toucher de prêt les étoiles. Fascination que t'as encore, qui occupe tes insomnies. (( adrénaline )) Besoin de se sentir vivant, sensation forte que tu recherches comme si c'était un besoin vital. Moto que t'as acheté juste pour sentir le vent frapper ton corps à cause de la vitesse. (( tabac )) Bâton un peu trop souvent entre tes lèvres, mort que tu respires, fumée que tu souffles. Étrange sensation dont tu ne peux te passer. Drogue douce, voilà ce que c'est pour toi. Tu devrais arrêter, tu le sais, mais tu n'y arrives tout simplement pas. Bâton presque toujours entre tes lèvres, allumée ou non. rêves, peurs Des rêves t'en as quelques uns. Peut-être qu'ils ne sont pas si exceptionnel que ça. Ouais, tu rêves de fonder une famille, d'avoir une maison, pourquoi pas un chien aussi. Rêve beaucoup trop banale, mais t'as la trentaine passé et t'as rien de tout ça pour le moment. Tu rêves de découvrir le monde aussi. Peut-être que tes parents t'ont donné envie de découvrir le monde. Tu rêves de sauter en parachute, de voir le monde d'en haut, tu rêves de gravir une montagne, d'avoir l'impression d'être au sommet de l'univers. Et puis, t'as tes peurs, un peu trop nombreuse, qui te bouffent, qui te filent des crises d'angoisse. Peur d'être oublié, peur des regards sur toi, du jugement des autres. T'as cette peur de finir seul à cause de ton sale caractère, seul parce que ton cœur s'est transformé en bloc de glace. T'as cette peur d'être englouti dans les ténèbres, d'aller trop loin et de ne jamais revenir. un animal (( l'ours )) L'animal qui te correspondrait le plus. Peut-être pour le mauvais caractère quand t'es pas de bonne humeur. Peut-être que tu ressembles à un ours quand t'as la barbe de trois jours que t'as la flemme de raser. une saison (( le printemps )) Retour de la chaleur, des premiers rayons de soleil qui tape sur ta peau. Saison où il ne fait pas encore trop chaud, où c'est encore supportable. Les couleurs qui reviennent, qui t'inspirent pour tes dessins, de voir cette vie naître de nouveau. une chanson (( billie eilish – no time to die )) Douce mélodie qui enchante, qui font baiser leur garde. Chute parce que tu as écouté des sentiments, parce que tu t'es fait avoir en beauté. un film (( seven )) Tu sais pas trop pourquoi. Film qui t'as marqué quand t'étais ado, qui t'as aussi donné envie de devenir policier d'une étrange façon. un plat(( golden gaytime )) Pas vraiment un plat qu'on prépare. Friandise qui te rappelle des souvenirs, qui rappelle des étés, des journées à la plage. Friandise qui a servi pour ton coming-out, quand t'as annoncé à tes parents que t'étais pas forcément hétéro. une odeur (( l'océan )) Odeur iodé qui envahi ton être, qui te donne envie de partir, d'aller vers d'autres aventure. La plage, l'endroit où tu rends presque comme un réflexe quand tu ne te sens pas bien. une émotion (( regret )) Mauvaises décisions qui ont été prise, que tu regrette plus que tout. L'envie de revenir en arrière, de recommencer, de ne pas tomber dans le piège. Ce n'est pas possible, tu le sais bien. Alors, tu vis avec ces regrets qui te ronge petit à petit. |
(( home alone )) Sourires qu'ils te lancent, étreintes comme si c'était la dernière. Chaleur qui te quitte petit à petit, sensation d'abandon qui commence à envahir ton être. Les larmes qui commencent à couler le long de tes joues. Silhouettes qui s'éloignent, qui disparaît à l'horizon, te laissant seul. Une nouvelle fois. Larmes qui coulent, cri qui résonne dans toutes les pièces. D'autres bras qui te prennent, qui te consolent. Séjour qui ne durera pas si longtemps que ça, parents que t'allaient revoir bientôt. Parents qui te promettraient de rester plus longtemps, de veiller sur toi, d'être enfin des parents. Larmes qui s'arrêtent, naïveté qui prend le dessus. T'y crois toi, t'avais envie que ça soit vrai. Gamin qui voulait que ses parents soient auprès de lui. Sourires et rires partagés durant quelques semaines, durant quelques mois. Et ils repartent, voir le monde, le découvrir sans toi. C'était ce qu'ils avaient prévus après tout. Et t'es là toi. Tout seul. Encore une fois. T'étais le gamin qui s'imaginait des mondes, celui qui dessinait pour oublier l'abandon des parents. Monde où t'étais roi, où tu étais entouré. Imagination pour oublier que t'étais seul, comme pour vivre dans le déni.
(( the breakfast club )) Innocence envolée, naïveté qui n'est plus. Colère qui te ronge, que tu ne peux cacher. Blessures et bleus qui décorent ton corps, ton visage. Colère pour extérioriser, comme pour te venger de cette solitude. T'étais un petit con, celui qui n'écoutait pas, passait son temps à dessiner sur les cahiers, à regarder par la fenêtre comme pour t'évader. L'école, les études qui n'étaient pas ta priorité, t'avais même envie d'en finir le plus rapidement possible. T'étais le petit con qui s'incrustait dans les bagarres, surtout dans celle qui ne te concernait pas. Coups que tu donnais comme pour te libérer d'un poids. Coups de trop, heures de retenues qui s'accumule. Tu passes plus de temps dans cette salle que chez toi. Et il était là. Celui qui te faisait un peu peur fallait l'avouer. Un peu plus grand, plus âgé que toi. Lui et sa moto, sa veste de cuir. Il était là, à côté, arborant la trace du coup que t'avais pu lui donner sans même t'en rendre compte. Silence qui pèse dans la salle. Visage qui est caché sous ta capuche comme pour éviter de croiser son regard. Pourtant, il glisse. Il s'attarde trop sur les doigts qui dansent sur le papier. Dessin, sujet de conversation qui se lance. Sourires qui sont échangés. Peur qui s'envolerait presque. Peur qui est toujours un peu présente, pas forcément pour la même raison.
(( 21 jump street )) École de police qui t'a accepté. Tu te demandes encore comment t'as pu réussir. T'étais loin d'être un modèle de perfection. T'étais pas celui qui obéissait sagement aux règles non plus. Pourtant, t'avais enfin réussi à faire quelque chose de ta vie. Félicitation de tes parents, comme s'ils se souciaient de toi. Félicitation, parce que tu vas être indépendant, parce qu'ils n'auront plus à se soucier de toi. Nouveau départ pour toi, nouvelle vie qui commence. Nouvelles illusions, parce qu'au fond t'es toujours ce gamin un peu trop naïve. Rêve de répandre la justice, de faire un monde meilleur. La réalité qui te rattrape. Non, ce n'est pas ce que tu avais imaginé. Discours de tes collègues qui te donne envie de vomir. Poings qui se serrent un peu trop. Coups que tu ne peux pas donner, t'es plus au lycée. T'as pas encore ta place. Tu dois attendre. Encore un peu. Un jour, sans doute que ce doux rêve, tu pourras le réaliser.
(( lock up )) Rêve qui se brise en mille morceaux. La chute qui est un peu trop haute, un peu trop importante. T'aurais dû rester à ta place, de te mêler juste de tes affaires et ne pas fouiller. Regarde où ça t'a mené tout ça. Visage impassible lorsque la sentence qui tombe. Case prison pour toi. Tout ça pour quoi ? Justicier qui voulait remettre de l'ordre dans cette société pourrie. Naïveté qui s’évanouit totalement lorsque t'as essayé de l'aider. Gamine un peu trop innocente, qui s'est retrouvé dans une affaire qui la dépassait complètement. Promesse que tu lui avais faite, celle de la protéger quoi qu'il arrive. Promesse que t'as pas su tenir. Corps qui gît sur le sol. Gamine qui pousse son dernier souffle dans la peur, dans la solitude. T'étais pas assez rapide, t'as pas pu la sauver. Tout qui est de ta faute, tu ne peux que t'en vouloir. T'avais pas à te mêler de cette histoire, on te l'avait dit que t'allais en payer le prix. Sentence qui tombe. Homicide involontaire, coupable de la mort de la gamine. C'est peut-être pas si faux que ça. Peut-être que les preuves ont été trafiquées, mais t'as pas réussi à la protéger. T'es fautif, coupable. Tu mérites cette sentence.
(( the outsiders )) Jour, semaine, mois et années qui passent. Quatre ans. Peine qui se finit bientôt. Bonne conduite. Peut-être que ta condition d'ancien flic a joué aussi. Visite qui était rare. Famille qui venait de temps en temps, pour avoir des nouvelles. Parents qui t'envoyaient des lettres, des cartes. Peut-être que c'était égoïste de leur part, mais tu pouvais voir le monde extérieur grâce à eux. Ça faisait du bien. Visite qu'on t'annonce. T'attendais personne, questions qui arrivent. Et tu le vois. Lui. Son regard. Son sourire. L'air moins con qu'au lycée, plus posé. Visite surprise, tu comprends pas pourquoi il est là. Tu ne sais plus quand tu lui as parlé pour la dernière fois. Mais il est là, devant toi, avec un grand sourire. Questions qu'il te pose. Toi, tu y réponds, tu sais pas pourquoi. Visites qui deviennent de plus en plus fréquentes, puis la proposition. Possibilité de t'héberger quand tu pourras voir la lumière du soleil. T'as accepté, parce que c'était lui, parce que t'avais pas d'autres possibilités aussi. Après tout, il était peut-être celui qui te donnera une nouvelle chance. Le point de départ d'une nouvelle vie.
pseudo, prénom theia, anaïs. âge vingt-sept ans. inventé ou prélien? personnage inventé. comment as-tu connu goym? grâce à bazzart un dernier mot le forum est superbe aussi - Code:
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<t>matthew daddario</t> - isaac byrd |
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