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 IVY-CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit, aux matines sonnantes, nous valserons ensemble, macabre débutante.

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IVY-CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit, aux matines sonnantes, nous valserons ensemble, macabre débutante. Empty
MessageSujet: IVY-CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit, aux matines sonnantes, nous valserons ensemble, macabre débutante.   IVY-CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit, aux matines sonnantes, nous valserons ensemble, macabre débutante. EmptyMar 14 Avr - 19:03

Ivy-Céleste Applewhite
Never say goodbye, because saying goodbye, means going away. And going away, means forgetting.


prénom et nom Applewhite : Ce nom de famille, semble des plus mélodieux, respectables. Immuables, indomptables, tel l'esprit fougueux, irascible et implacable, de ton mari. Nom, qui se veut symbolique, réputé, de par son caractère trempé, sa carrière, il est vrai. Mais qui, pourtant, réussissent à t'arracher quelques frissons, qui parcourent ton échine... Derrière ce masque de douceur, d'une beauté incomparable, prône une ombre... Une peur qui s'engendre à l'est... Les mains liées. La promesse solennelle de le soutenir, de le protéger, contre vents et marrés. En dépit du mal, qu'il te cause irrémédiablement, tu te sens prisonnière de tes paroisses de verres. De ton boudoir, qui ne cessent de se refermer sur ton être, ta frêle silhouette, à longueur de journée. Comme un vulgaire clapier... Votre romance découle d'un mensonge. Une sombre mascarade, dont il tire les ficelles, amusé... Tu souhaiterais de toute ton âme meurtrie, pouvoir te dérober. Le fuir, à jamais, à sa vue indignée, empourprée. L'idée d'un divorce, t'as, bel et bien, effleurer l'esprit. Maintes fois. Seulement, tu sais que tu as bien plus à perdre... Qu'il te rendrait la vie davantage impossible, qu'il ne te le fait subir, dans la volée. Sous les échos de sa colère incontestée, les effluves d'alcool, l'amenant à te blâmer, tu tentes vainement de masquer certaines marques délaissées, sur ta peau de nacre, sous un couche honteuse de correcteur, de maquillage. Ripostant de ton côté. L'incitant à déverser son venin, qui coule inlassablement dans tes veines, telle la morsure du serpent. Incandescente fourberie, fieffée filouterie, sombrant dans la mélomanie. Dans la totale désharmonie... Prenant malin plaisir à te tourmenter. Se terminant, bien malgré toi, sur l'oreiller. Devrais-tu oser avouer, à l'égard de certaines petites gens que c'est le mari parfait ? Que tu l'aimes toujours follement ? À t'en damnée ? Non, naturellement... Ces chaînes d'aciers, tu les portes, encore et toujours. Car telle est ta responsabilité, ton devoir, à son égard...  Quant au prénom, il s'agit d'Ivy-Céleste. Un prénom qui se veut original. Quelque peu singulier, que ta mère a choisi. N'aimant guère les prénoms composés. Jugeant cela que bien trop long à porter, ton père dû, néanmoins, s'y résigner, sous l'aimable persévérance de sa femme... Ivy. Un nom tiré de la bande du dessin animé de « Batman. » Dont la douceur irréelle, séduisante, se veut tout aussi piquante... Ouvertement, tu restes une jeune femme docile. En particulier, auprès de ton époux. Mais tu es loin d'être innocente, naïve, pour autant... Au contraire, si le bon Dieu t'accordait une attention, toute particulière, toutes les âmes esseulées... Les défunts, profondément enterrés, s'en retourneraient dans leurs sépultures. Tels des spectres ailés, brisés. Épouvantés de par ta nature secrète, perverse - tu es une âme possédée, à toi, toute seule. Une sombre entité, demeurant endormie, paisiblement. Attendant, inéluctablement, de te jeter sur ta future proie. Prenant son cœur, encore cognant. Saignant. Tambourinant dans sa cage thoracique, pour le mettre au supplice. Le damner, sans ménagement. Céleste. Variante dorée. Communément adulée de par le monde. « Cecilia » en outre, demeure un péjoratif constant, à travers les méandres de certaines communautés. « Ciel divin » étant la particularité significative, de ce doux nom. Pour certaines petites gens, oui... Tu es l'ange tombé du ciel, pour les arracher à leurs tourments. Ou au contraire, les broyant, sur-le-champ... Quant au second prénom, il s'agit de Brona. Un prénom gaélique, qui signifie, en réalité, « tristesse. » Cela paraît d'autant plus étonnant, il est vrai. Pourtant, dans le fond, bien que cela t'en désigne les traits de ta personnalité, il n'en reste guère, que tu ne l'apprécies, au fond de ton être, de ta frêle silhouette...
âge Non seulement, on t'a taquinée sur ton jour de naissance, mais en plus de cela, il faut rajouter une couche sur ton âge ! En effet, tu viens de souffler tes trente-et-une bougies cette année et tout le monde te fait la remarque. Te met en garde contre cette fameuse crise existentielle, comme on dit... Comme quoi, tu commences à te faire vieille, dans ce monde qui croule son tes pas... Mais tu t'en moques dans le fond. Ce cap, tu le passes haut la main !
lieu de naissance  Voyant le jour un vingt-quatre décembre, au soir, on t'a beaucoup charrié durant ta préface d'adolescence. Te nommant, ainsi, le petit flocon. Ou encore, la petite mère Noël... Ce n'est point cela qui t'a braqué et t'empêcher de vivre, cependant. Au contraire ! Ton premier jour, tu l'as vu, ou plutôt, aperçue, entre tes yeux mi-clos, à Vienne, en Autriche. L'hiver s'était paraît de son doux manteau blanc, qui surplombait, ainsi, toute la ville au demeurant. Le doux écho, provenant des quelques chorales, fusaient, à travers les vitraux du rathaus. Une odeur enivrante de bretzel, de würst, ainsi que de vin chaud, se mêler... Se laisser emporter, par la brise incertaine et glacée. Quelques éclats de rires cristallins, de bruits sourds, fracassants, venant se nicher, au gré d'un pâle carrelage de fraîcheur, que procurait la patinoire. Les flammes vacillantes, sur quelques murs délabrés, qui attisaient le regard vitreux de certaines petites gens, cherchant à se protéger. S'emmitoufler dans leur chaud duvet. Alors que toi, tu ne pensais qu'à te nourrir. Sentir le doux parfum enivrant et naturel de ta mère. Dormir dans le creux de ses bras, de surcroît...
origines et nationalité Forêts verdoyantes, feuille rouge écarlate et cramoisie, se laissant guider, par la brise incertaine et glacée. Folklores celtiques. Corps enchanteurs, tournant de leurs démarches, gracieusement, dansantes, autour de ces mystérieux rochers, que sont ces sombres menhirs. Arrachant, quelques frissons, qui parcourent l'échine, de certaines petites gens, dont le regard intrigué, s'évertue, à s'attarder... Village de pavés. Cornemuses envoûtantes. Kilt, tartans, prônant, fièrement, sur ces doux Écossais, tels des étendards, élancés. Aberdeen. Tu as ces origines, de par le biais de ta mère. Et tu dois le reconnaître, ce pays est cher à ton cœur. Dès que l'occasion s'y présente, tu ne peux t'empêcher d'y retourner. De parcourir ses belles contrées. Mais, tu conserves, avant tout, ta double nationalité autrichienne, ainsi qu'australienne !
famille Niveau famille, cela se veut des plus complexes... Bien que tu t'entendais parfaitement, avec tes aimants parents. Que vous étiez liés, soudés, à jamais. Quoi qu'il en fusse, tu as, hélas, perdu ton père biologique, il y a quelques longues années, déjà... Quant à ta mère... Elle se veut semi-mourante, dans un des hôpitaux, très réputés de Vienne. Ne pouvant plus guère bouger... S'étant réduit, bien malgré elle, dans le silence, le plus total, le plus complet. Assise dans ce fauteuil roulant, à longueur de temps. Irrémédiablement, paralysée... C'est ainsi, qu'elle restera, jusqu'à son dernier souffle de vie certaine... Toi, tu passais tes journées, à ses côtés, il est vrai... Tu ne pouvais, déjà, faire grand-chose, pour elle, à ton plus grand regret... Simplement à lui parler, lui tenir compagnie. Payer ses opérations, ses frais médicaux, que, finalement, ton mari, s'attelle à cette tâche, désormais... Bien que tu l'aimes plus que de raison, que tu serais prête à tout, pour elle, même si elle n'en demeure plus, réellement, consciente, tu n'as plus eu l'occasion de la retrouver. Croiser, une fois de plus, son regard vitreux... Non point, parce que tu ne le veux plus... Mais, d'une certaine manière, tu as tout quittée... Tout plaquée, pour Montgomery. Et, cette part de cette effroyable stipulante, en fait partie, depuis qu'il t'a passé la bague au doigt... Qui plus est, tu restes, quelque peu, traumatisée, par les établissements médicaux... Moins, tu as, a passé, là-bas, mieux tu te portes !
emploi, études Rêvant tutus, chaussons. Danse gracieuse, sur un air de Tchaïkovski. Tu te complaisais à l'idée de devenir une étoile montante, au sein de grands ballets. Et ce, depuis toute petite. Malencontreusement pour toi, ton rêve ne put se réaliser, étant donné que vers l'âge de tes dix-neuf ans, tu vécu, subit un grave accident de voiture, qui faillit te coûter la vie. C'est ta jambe droite, qui empâtait sur la douleur et qui manqua de te l'a faire perdre, pratiquement... De ce sombre rappel, il ne te reste qu'une simple cicatrice refermée. Qui, parfois, en dépit de l'humidité... Signe alarmant, qu'une averse va déferler, dans la volée... Qui te cause, instinctivement, quelque lancinantes douleurs, aussi éphémères, tel le doux vol mélodieux d'un papillon. Te faisant, quelques fois, clopiner, trottiner. Jambe légèrement foulée, comme la patte d'un sauvage animal errant, à travers les méandres de la mélancolie. Marécage boueux de la folie. Ton merveilleux mari s'amuse à tes dépens. Te nommant gentiment, la « Docteur House » des temps modernes - s'amusant à t'offrir, comme chaque année, une canne a l'esthétisme étonnant, parfois romantique, raffinée. Épurée, en périodes hivernales. Bien que cela ne part guère d'une mauvaise intention, toutefois, tu ne pusses t'empêcher de serrer les dents d'amertume. De désarroi certain. Comme à l'accoutumé. Avant même de les ranger. Les condamnés dans le grenier. Prenant, mordant machinalement la poussière, il est vrai... À la suite de cet événement traumatisant, tu devais, logiquement, te choisir une autre vocation... Te voulant une personne un peu romanesque, bohème. Élégante éloquence, tu te surpris, toi-même, à te diriger dans l'art artisanal, de tout métier. Depuis quelques années désormais, tu fais équipe avec un ami d'enfance. Vous avez monté, ensemble, votre propre société. Lui est un architecte intérieur de maison. Toi, tu t'es revendiqué comme designer d'intérieur, en chef. Cet attrait de ta personnalité n'a toujours eu de gage, de cesse, que de t'y bercer. Tu t'es toujours montrer minutieuse, observatrice. Anticipant le besoin, le désir, des petites gens. Tu souhaites ardemment que tout demeure parfait, au demeurant. Au risque de te faire passer pour quelqu'un de superficiel, il est vrai... Toutefois, chez toi, le design, la beauté... Le physique, passe, compte avant tout. Particulièrement chez les gens. Pour preuve, tu ne cesses de surveiller d'un bon œil, ton bien-aimé. À un point tel, qu'il ne t'envoie balader... Vous avez rencontré de nombreux obstacles, avec ton acolyte... Des bons, des mauvais... Il t'arrive de faire dans l'événementiel, également. Mais, ce que tu adules, par-dessus tout, c'est de marier l'ancienneté, l'authenticité, avec la modernité. Tu es très respecté, demander sur le marché. Pour le bonheur de tes clients luxueux, tu combles le moindre de leurs fantasmes, sans regarder à la dépense, tout autant. Ainsi, avec eux, tu peux te le permettre. Te lâcher. Sous les médisances de ton mari, de ton cher Montgomery, cela te met davantage du beurre dans les épinards. Tu t'épanouis. À mesure qu'il se montre vert de jalousie... Il ne souhaite que tu perces. Te laisse guider, baigner, dans le prônant succès. Mais tu l'ignores irrévocablement. Promptement, sachant, que davantage, il te maudit... Tu le contraries... Et tu souris, encore et toujours, telle une belle idiote balafrée... Depuis peu, ton charmant associé, t'as gentiment proposer des télés transmissions. Des diffusions, pour vos projets en constructions. Cela te charme, d'une certaine manière. Cependant, tu hésites... Tu doutes que derrière le rideau teinté de la scène, se dévoile la supercherie de ta sombre mascarade, que demeure ta vie salvatrice. O combien destructrice... Que soit révélé, finalement, tes sentiments inavoués. Alors, tu ne fais que reporter l'échéance, un peu plus encore. Autant que faire se peut... Lui précisant que, sur l'instant, tu as d'autres chats à fouetter...
statut civil La promesse solennelle, irréfutable, de le protéger, envers et contre tous. Contre vents et marrées. Les mains, à jamais, liées. Si, jadis, tu as eu de forts sentiments, sincères, de surcroît, à l'égard de ton cher Montgomery. Que tout ce qui t'entourait, t'avait semblé abstrait, indigne de tout intérêt. Qu'il n'y avait eu, que, ton bel apollon, a la carrure, magnifiquement, gracieuse, élancée. Athlétique, qui avait compté, c'était, bel et bien, ce qu'il subsistait. Tu avais souhaité, de toute ton âme meurtrie, esseulée, pouvoir le combler. Sur tous les plans, les fronts nivelés. Avec lui, ton monde avait retrouvé un but existentiel - il avait retrouvé de sa saveur, de sa splendeur. De son éclat. Dans une douce torpeur irréelle. Une magique atmosphère, coincée dans la stratosphère. Une demande en mariage rêvassé, depuis maintes années. Au relent divin, d'un romantisme sans faille, incontesté. Voilà, qu'aurait pu, ainsi, continuer, votre joli conte de fée. Mais, aussitôt, qu'il n'était apparut, à tes orbes bleutés, il s'évapora, pourtant si tôt, dans les brumes de la nuit, de l'amertume. La mélancolie sidérée, hébétée. Meurtrie, ternie. Imploser, colorer, de son amère odeur de rouille... Le souci, avec les relations amoureuses, c'est que l'on croit, encore et toujours, que certaines, en sont si fortes, qu'elles pourront résister à tout. Mais ce n'est point vrai... La confiance qui s'étiole, la lassitude. Les mauvais choix, les soleils trompeurs, de la séduction. La voix chaude, des sales cons. Les longues jambes galbées, des sales connes. Les injustices complices, du destin : tout concourt à tuer l'amour... Dans ce genre de combat inégal, les chances de victoire sont minces et tiennent plus de l'exception, que de la règle... Votre parfaite idylle, c'était, manifestement, brisée. Se fissurant, irrémédiablement. Comme ton âme... En mille et un éclat... Peu à peu, au fil du temps, plus, tu avais, le malheur de le blesser. Le froisser, bien malgré toi. Même si cela, n'en avait guère était, tes intentions, dans le fond... La raison, l'avait fui, sans contritions. Te ruant de bleus, de coups, que, sans nul cesse, tant bien que mal, tu encaisses. Tu avais était, si naïvement, berner. Tu devais, à tout prix, le payer. L'enivrer, dans une folle passion, reliée qu'à ses propres désirs ardents, brûlants. Égoïste, insensible... L'idée d'un divorce, t'as maintes fois, effleurer, ton esprit ébranlé. Un ballon noir, ce dernier t'avait vendu. Te clouant, inéluctablement, les pieds. Te raccrochant, à tes sombres pensées... Tu aurais pu, il est vrai... Mais tu te savais, pertinemment, parfaitement, qu'il te le ferait, à même regretter... De plus, il te tient sous sa coupe, finançant les opérations incalculables. À un prix, fort coûteux, de ta mère. Sans que tu ne saches guère, si cela en a, réellement, ses effets bénéfiques... Te menaçant, dans la volée, si tu devais le fuir, à sa vue empourprée... Après cela, tu ne fusses plus jamais la même... Tu t'éloignais de lui, ne remplissant tes engagements, tes obligations, de femme aimante, mariée. Sans nul doute plausible, que cela constituer, à te tromper, qui sait ? Tu n'avais su le tolérer, le supporter. Les disputes s'enchaînaient, tels les crimes volages, d'un cleptomane. Un illustre forcené. Il n'avait de cesse, que de te le rappeler. Sans quoi, son lancinant courroux s'abattrait, comme une plaie. Le mauvais karma, se retournant, contre ton être, ta frêle silhouette. Cependant, que tu demeurais circoncîmes, incomprise... L'idée de fonder une famille, à présent, te tétanise. Tu restes de marbre. Aussi raide qu'un simple piquet, une vulgaire planche de bois. Tu ne veux guère de cela... Te sentir, davantage, prisonnière, de tes paroisses de verres. Ton boudoir, qui ne font que se renverser. Se resserrer, comme un étau, sur toi. Tu adores les enfants, oui. Mais ce n'est, certainement point, avec lui, que tu en as envie... Le souci, c'est que, tu es effrayée, telle une chouette, prise dans les phares d'une voiture. Une cage d'acier. Tu ne peux le lui divulguer, d'emblée, sans prendre risque, qu'il ne te gifle, violemment. Effroyable méfait... Rien que pour augmenter son plaisir, il serait bien capable, d'abuser de toi, sur votre lit gelé... Alors, en retrait. À la lisière de son inconscient, tu te risques à prendre, encore et toujours, la pilule. Bien, qu'une partie de toi-même, te haïssait, tout autant... Si tu tiens, encore... Déambule, comme un zombi, dans ce monde, qui tu méprisais. Dans lequel, totalement, tu te méconnais, c'est que c'est ton cher - probablement le seul, que tu as... Le mari, de ta cousine : ce Lewis Laidlaw, se veut loyal, important, à tes iris chatoyants. Il demeure, avant tout, ton pilier. Officiellement, votre relation se veut platonique. Ton mari l'apprécie, plus que de raison, qui plus est. Officieusement, pourtant, cela est beaucoup plus complexe, il est vrai... De son concerto, il te déconcerte. Te trouble, irrévocablement. Tu ne devrais point y songer. C'est malsain, tu le sais... Pourtant, tu ne pusses t'empêcher, discrètement, de te sentir flattée, à mesure qu'il te convoite. Tu désires, follement, ardemment, qu'il t'agrippe. T'attrapes, dans les mailles de son filet... Plus tu réfutes tes perverses pulsions, plus, elles se manifestent, de ton côté. Tu veux, uniquement, qu'il soit à toi. À toi, toute seule. Autant, que tu veux lui appartenir... Viles créatures manipulatrices. Menteuses, que vous êtes... De cela, tu en convenais... Troublante vérité accablante, sa mission est de te séduire. Marquer, à jamais, son territoire. Il ne cesse de te jeter des sorts, te damner. Gentiment, te mater, te mettre à terre. Jusqu'à-ce que tu n'en deviennes plus guère, qu'un futile amas de poussières, dont l'essentiel, t'échapperas, encore et toujours, de tes petits doigts de fées. Tu seras sa douce petite chose. Son délicat jouet, qu'il ne saurait guère partager. Que tu y consentes ou non, par ailleurs... Cet homme allait réussir à te faire courir à ta perte. Te rendre folle à lier... Game Over.
orientation sexuelle Cela t'es déjà arrivé de partager le lit d'une femme ou deux, par curiosité. Mais c'est surtout la gante masculine, qui te fait vibrer. En effet, il n'y a rien de tel, qu'une bonne paire de bras pour t'enlacer. Te protéger de tout, contre vents et marrés. Un torse bien musclé. Une démarche gracieusement féline. Un doux rictus à faire fondre sur place. Un parfum enivrant. Un rire cristallin, qui te fait faillir. Défaillir, et dont tu ne te lasses guère d'entendre, à longueur de journée, de temps. Une carrure magnifiquement élancée, athlétique. Oui, tout ça, ça te fais baver. Tu resteras toujours, une éternelle hétérosexuelle.
groupe Esky, of course.

traits de caractère  HONNETE : Tu es d'une franchise incomparable. Peut-être, est-ce pour cette raison, que cela te cause certains tours. Qu'ils soient bons ou mauvais, d'ailleurs... Tu sais que tu dois, parfois, te lier la langue, afin de t'éviter quelques tourments. Parce que tu te sais parfaitement, que, parfois, les mots peuvent être de nature bien profonde. Bien trop cruelle et pesante. Bien trop blessante. Tu as déjà essayé, à maintes reprises, de te contenir. De garder tout cela, dans le fin fond de ta mémoire. De ton esprit esseulé. Parfois même brisé. Tu tentes, vainement, de les chasser. De les envoyer valser, dans les méandres de l'oubli. Tu aimerais pouvoir te changer cet attrait. Réussir à te démêler, de ces situations maladroites, étroites. Etourdissantes, qui te mettent souvent dans l'embarras. Tu voudrais te demeurait, à jamais, au silence. En particulier, quand cela fait souffrir les gens de ton entourage, tes proches. Tu te maudis, dans ces moments-là. Ces instants fugaces. Tu aimerais, souhaiterais, pouvoir te gifler. Te remettre sur le droit chemin, alors que la raison te fuit, sans contritions. Mais rien y fait... Tu dis et révéleras toujours la vérité - la vérité et rien qu'elle. Parce que, dans le fond, c'est tout ce que tu peux véritablement contrôler. Parce que c'est tout ce que tu peux offrir, dans ces moments passagers. Parce que, pour toi. Ta frêle silhouette, tu ne peux supporter qu'on te ment. Quand bien même, cela peut être pour te protéger, contre vents et marrés...  DISCRETE : La discrétion, ça te connaît. Ca te parle ! Tu as toujours vécu cela, au demeurant. Depuis ta plus tendre enfance, tu as appris à bien maîtriser tes émotions. Tes sentiments. Certains penseront, certainement, que tu n'es qu'un robot sans vie. Une poupée de chiffon. Une coquille vide, dénuée de sens, d'expressions. Tel un pantin désarticuler, territ dans l'ombre. Délaisser par son créateur, les jeunes visiteurs. Usé, bafoué, délaissé des environs. Crépuscule vacillant où se perdent les illusions. Pilule amère, qu'on te croit avoir avalée, sans la moindre petite hésitation, depuis maintes années, tu sais démontrais que tu es humaine. Que toi aussi, tu as des sentiments. Seulement, tu tentes à tout prix, de ne point faire trop étalage de ta vie privée. Parce que tu te doutes, pertinemment, que si tu te mets à parler, tu crains, secrètement, que les autres viennent jaser derrière ton dos. Te poignardant de leurs lames effilées. Aiguisées. Remontant la clef, qui est sagement, soigneusement loger, en ton être. Dans ta frêle silhouette... En revanche, quand on te révèle un secret. D'autant plus s'il est de la plus haute importance, tu restes aussi muette qu'une carpe ! Même sous la torture, tu ne révéleras jamais ce que ton voisin t'as avouer, un peu plus tôt. La trahison est tout bonnement, tout simplement banni de ton vocabulaire.  LOYALE : Tu as toujours été et resteras, à jamais, loyale. Fidèle. Que ce soit au sein de ta vie professionnelle, autant que de ta vie privée. En particulier, quand il s'agit de tes proches. Tu es l'âme incarnée, damnée, qui écoute la voix de ta conscience. Qui te pousse à rester sur le droit chemin. Bien que cela soit, parfois, complexe. Que toutes tentations te poussent à t'écarter. Te délester de ce poids qu'est la sagesse, tu ne peux... Ne veux plus guère, rester dans l'ombre. Prisonnière de ses paroisses de verres, qui ne font que se resserraient. Se refermant sur toi, jusqu'à ce que tu suffoques. Manquer d'air, à bien des égards. Et que les écarts de ta vie, te poussent à sauter dans le vide. Savoir avoir de quoi te raccrocher. Restant sur le bas-côté. Jusqu'à ce que tu deviennes plus qu'un simple et futile amas de poussière et que l'essentiel t'échapperas toujours de tes petits doigts de fées... La vie, ta famille, t'a, bel et bien, appris la limite du bien et du mal. Tu as appris de tes erreurs et t'es engagée, solennellement, à ne plus les reproduire. Les répéter. Tu sais ce que tu veux, quand tu le désires... Ce qu'il faut faire et ne pas faire... Parce que tu te sais, pertinemment, que si tu cèdes à la moindre tentation... Si tu as une quelconque hésitation, tu seras perdue, à jamais, dans les méandres de l'oubli. Egarée, telle une âme en peine. Errant dans les contrées, sans trêves, ni repos. Comme une brebis. Un fantôme, prisonnier de ces boulets. Ses chaînes d'acier, que tu te contenteras de porter. De traîner, pour l'éternité. Parce que tu sais que tu t'en voudrais que trop, si tu venais à commettre l'irréparable. Que la cupidité, l'égoïsme, t'aveugle. T'enveloppes de son manteau de fumée. Que tu te laisses guider par ton étourderie. Par la fourberie, la morsure du serpent. Fieffée filouterie... Tu le sais, que tôt ou tard, si tu baisses la garde. Si tu n'y prêtes plus guère attention. Que tu laisses tomber les armes, ton erreur commise jadis, s'abattra sur toi, telle une plaie. Le karma se retournera vers toi, tu le sais. Alors, tu respires un grand coup et tu fais face à la situation. Aussi inconfortable, intimidante, soit-elle. Aussi étroite, délicate, qu'une fleur sauvage, bien que fragile à la fois... Tu affrontes tes propres démons. Tu restes toi-même, quoi qu'il arrive. Tu te bats, jusqu'à ton dernier souffle de vie. Tu restes fidèle, quoi qu'il arrive. En particulier, quand il s'agit de tes proches.  JALOUSE : Tu as cette fâcheuse manie d'être jalouse. Aussi bien en amour, qu'en amitié... Tu es du genre à trop vouloir t'attacher aux autres. A leur être loyal, fidèle, qui plus est. Mais, si tu as bien des qualités, celui-ci est vite rattrapé par ta maladie verte. Petite bête, que tu cherches sans arrêt, pour toi, tu tiens à garder l'exclusivité. Tu dirais point, que tu désires être le centre d'intérêt, de tous ceux et celles qui croisent ta route. Non, tu as horreur de ce genre de choses, à dire vrai. Te regarder le nombril, est abstrait, indigne de ton intérêt, mais, le fait, que tu n'aies guère les personnes que tu aimes, autour de ton être, de ta frêle silhouette, t'effraie quelque peu... Tu ne saurais dire réellement pourquoi, mais, l'absence d'un être cher et tant aimer, t'es insupportable. Insurmontable. Surtout, lorsqu'il s'agit de ton meilleur ami d'enfance... Dans le cas contraire, tu ne peux accepter l'absence d'abandon. Si ce n'est qu'elle emplit ton horizon... Eternel chamboulement, cruelle conception. Tu as, pourtant, tout fait pour écouter la voix de la sagesse, de la raison. Abysse infernal, désillusions néfastes, d'où perle l'essence écarlate à l'amère odeur de rouille. Rien n'y a fait cependant, quand le sépulcre est tout ce qui te reste. Que la mélancolie t'enveloppe de son manteau de fumée. Que tu tentes le tout, pour prendre tes distances. Digérer, avaler, ce voluptueux poison - poison du serpent, qui coule inlassablement dans tes veines, quelque chose te ramènes, toujours, à la raison. Il s'agit de quelqu'un d'important, parfois. Qui t'est cher à ton âme esseulée, brisée. Il te tend la main, te remontant, t'étreignant, tendrement. Te sortant, ainsi, de ton trou noir et béant. Mais, tu auras beau essayer de calmer la douleur. Faire taire, chasser. Balayer d'un simple geste, d'un simple revers de main, les affres de la jalousie, qui te pousse, encore et toujours, à foncer dans le tas, tête baissée. Qui te consume de la tête aux pieds, en vain... Cette jalousie maladive et incessante. Vérité troublante, aura toujours raison de toi. Faisant disparaître à jamais, dans les brumes de l'horizon, tes qualités, sur l'instant présent. Tout ceci, de toi, cela en dépend... Il n'est qu'à tes risques et périls, de vouloir te brûler tes petites ailes de fée... Ou non...  DOUCE : Tu es d'une douceur incomparable, indescriptible. Cela a toujours été ainsi avec toi. C'est plus fort que toi... L'air serein, prône sur les fins traits de ton visage pâle, blafard. Tu portes constamment, ce masque de l'indifférence. Eternellement, ce masque de la déférence. Tu le portes sur ton être, ta frêle silhouette, tel un bouclier de protection. Parce que, dans le fond, tu crains de le montrer. De le divulguer au monde entier, tout en prenant le risque énorme, de te brûler tes ailes fragiles et délicates. Parce que, pour toi, cela résonne comme une marque de faiblesse... Alors, tu restes de marbre. Aussi droite qu'un piquet. Aussi raide qu'une planche de bois, quoi qu'il advienne. Quoi qu'il se passe... Tu restes aussi belle, aussi froide, tel un pâle matin de printemps, qui frissonne encore, sous un hiver de glace. Un hiver tenace. Seul ton meilleur ami d'enfance, sait ce qui se trame, dans les fins fonds de ton boudoir. Dans les fins fonds, de ton âme perdue, esseulée. Damnée. Et, quelques personnes proches, qui peuvent être dignes de ta confiance...  COMPREHENSIVE : Il est dans ta nature, de vouloir, à tout prix, te mettre à la place des autres, les comprendre. Que ce soit autant, de ta vie privée, personnelle, que professionnelle. Tu te sais parfaitement, que cela est un point essentiel, élémentaire, pour mieux prendre du recul. Mieux saisir le point de vue de ton prochain. C'est, sans nul doute, pour cette raison, que tu sais anticiper l'envie. Le besoin vital et irrépressible de tes proches. Tu sais mettre tes problèmes, tes émotions de côté. Tu les ranges, gentiment, soigneusement, dans un recoin de ton esprit torturé, esseulé, et tu tentes, désespérément, d'aider. De conseiller, du mieux que tu le peux, toutes les personnes qui se sont approchés, alors, de toi. De ton être, qui se veut, dans ces moments-là, se trouver confiant. Assurant, droit et serein. La seule, l'unique personne, qui t'es le plus proche, et qui, généralement, arrive à te percer. A lire en toi, comme dans un livre ouvert, c'est : Cooper. Avec lui, tu auras beau tout faire, tout tenter, pour enfouir toutes tes angoisses, tes envies. Tout ton stress, ta mélancolie, rien y fera, cependant. Tu ne peux te permettre de te cacher, constamment, derrière un masque - masque de l'indifférence. Masque de la déférence, qui t'incombe, dans ces instants-présents... Tu ne pourras jamais, te cacher derrière des faux rires. Des faux-semblants. Il a pris, des petits morceaux de toi. Mais, si petits, que tu n'as su faire attention... L'instant d'avant, tu étais toi-même... La Ivy, que tu t'étais toujours connue, mieux que quiconque, certainement. Mais, la seconde suivante, tu te méconnaissais, totalement. Irrévocablement. Dans un monde de chimère, monde de misère, que tu méconnais, tu n'arrives à te défaire de cette sombre calomnie, apogée. Une existence entière, dévouer à la mélancolie. Aux blasphèmes...  DIPLOMATIQUE : Pour toi, il est totalement évident, que la diplomatie s'impose. Que la bonne justice, règne en maître, sur cette vie terrestre, bien cruelle. Bien, trop sombre, pénible et amère, qui ne fait que broyer les plus faibles, sur son chemin... Tu préfères méditer. Bien réfléchir, avant d'agir. Quitte a persuader, engager les pourparlers. Hisser le drapeau blanc. Entériner, sur le moment, la hache de guerre, plutôt que de la confronter. Tu te sais, sans nul doute, que tu n'es point douée, pour ce genre de choses. User de la force, de la violence, est un point de divergence, que tu redoutes follement, hardiment. Tu préfères de loin, essayer de trouver un bon compromis, plutôt que de foncer tête baissée, dans la mêlée. En revanche, s'il on abuse de trop, de ta bonté, ton indulgence... Qu'on trahit ta confiance, ta bien aisance. Qu'on te vole, te dérobe, dans la foulée, ton innocence, ta plussoyance, alors tu n'hésites plus... Tu décides d'ignorer, d'écarter, cette personne, de mauvaise augure. Sombre présage, qui inaugure ta toile étoilée. Ternie par les ombres, de ce triste passé. Tu sors les griffes. Tu serres les poings, alors que tes dents grincent, dans un semblant d'amertume. Et, l'air renfrogner, ta grise mine, arborerait ta connivence... La rancune fait place à la mélancolie, à la douleur. Aux ténèbres, qui t'engloutissent. Se dérobant sous tes pas. Derrière ton tracé, où se mêlent les démons, tapis dans l'ombre. Sortant de leurs tristes rochers...  TRAVAILLEUSE : Le travail, le travail... Encore et toujours le boulot... Pour toi, c'est un élément clef, qui t'es important, capital, pour te sentir à l'aise, bien dans ta peau. Peut-être, parce que tu aimes ce que tu fais. Ce que tu créées. Parce que tu t'es toujours connu comme cela : motivée, confiante. Assurante, qui plus est. Tu as toujours réussi ce que tu entreprenais. Quelque soit le doute, la difficulté de la situation. Du métier - quelque soit la filière. La branche que tu prends, le succès, tu connais. Tu apprécies cela, d'ailleurs !  CREATIVE : Tu as l'air d'être née sous une bonne et belle étoile, faut croire. Quelque soit le domaine - que ce soit de l'art, de la littérature. Des petits plats mijoter, préparer avec amour, pour sa famille... Tout te sourit ! Tu n'éprouves aucune difficulté, complexité, à obtenir ce que tu souhaites, de ton travail, tant escompter, imaginer. On pourrait te donner n'importe quelle tâche à faire, c'était comme si c'était fait, déjà réaliser ! Il te suffit juste de claquer des doigts. De secouer ta petite baguette magique et voilà que tout est ordonné. Bien soigner, bien organiser. Tu es un petit prodige et tu aimes cela. Une véritable Raiponce, quoi !  PROTECTRICE : Tu ne saurais, réellement, pourquoi... Mais, dans le fond, tu as ce besoin irrépressible, de vouloir protéger le monde, de ces vastes et terribles dangers. En particulier, pour les personnes qui se trouvent être des plus chères et importantes, à tes yeux. Tu prends soin d'elles, comme si ton existence, tout entière, est rivée sur elles. Tu serais prête à tout, pour faire leurs bonheurs. Quitte à te sacrifier, s'il le fallait. Ton âme esseulée, torturée, bien que loyale. Ta petite vie, pour le moins banale, insignifiante, bancale, à cesser de tourner, autour de son axe. Le souffle te manque, dans ces conditions. Parés de désillusions, seul ceux que tu aimes, t'es destinés. Peu importe le devenir de cet univers, que tu méconnais, que tu voudrais oublier et purger de ta peine... Peut importe le devenir de ce monde de chimère. Monde de misère, tu seras toujours prête à te battre pour eux. Quoi qu'il advienne. Envers et contre tous. Contre vents et marrés.  NAÏVE : Si toutefois, tu as tous ces défauts, autant que ces qualités. Qu'ils font partie intégrante, de ta personnalité, tu as, cependant, ce trait, cet attrait, de simplette, de naïveté, en toi. En effet, tu peux avoir totalement confiance, en ton être. En ta frêle silhouette. Surtout, au sein de ton travail, tu n'as, cependant, aucun mal à douter de tout, en amour, en amitié. Peut-être, as-tu peur de ne point être à la hauteur, des êtres qui te sont chers. Peut-être, vis-tu, inconditionnellement, dans leurs ombres. Sans nul doute, es-tu effrayée, à l'idée même que tu ne leur suffis plus guère... Il te suffit, qu'on t'implante une idée sombre et saugrenue, dans ton esprit torturé et voilà que tu doutes de toi. De ton histoire avec elle. De tout... Cela te vaut bien, quelques vilains tours. Quelques vilains tourments même, qui rôdent, sans détour, à la lisière de ton inconscient...  NEVROSEE : Tu as toujours ce don d'être névrosée. Mélancolique... Si tu n'es guère du genre à vouloir le divulguer, montrer ton état de faiblesse aux autres, cependant, tu restes blottie, seule dans ton coin. Tu te mets en boule. Tu te couches sur le bas-côté, en position de fœtus et tu ne fais plus le moindre mouvement. Tu joues à la morte, de cette façon. Tu n'es, dans ce cas-là, plus qu'une coquille vide, dénuée du moindre sentiments, de la moindre émotion. Tu n'es plus qu'une banale poupée de chiffon... Cela t'est bien souvent pénible. Voir, insupportable. Tu détestes, parfois, cet aspect de ta personnalité. Mais, c'est plus fort que toi... Tu le portes, inlassablement, comme un bouclier. Comme si la mélancolie, était tout ce qui te restait, en ce vaste monde... Tu ne changeras jamais... Tu es, et resteras, une sorte de Meredith Grey...
cinq choses que tu aimes La pluie, la danse classique, la tarte citron-meringuée, les fraises aux chocolat, le chocolat, avec une touche de cannelle.
rêves, peurs C'est tout simple, tout bête, dis comme cela, mais, tu es effrayée, plus que de raison, par la violence de ton mari. Peur de ne survivre à ses coups, peur que certaines petites gens le découvrent... Quant à ton rêve... Tu en avais, jadis - un rêve, qui ne pourra plus guère se réaliser, se concrétiser, désormais...


un animal Un loup.
une saison L'hiver.
une chanson Rewrite the stars.
un film Crimson Peak.
un plat Les spaghettis a la carbonara.
une odeur La noix de coco.
une émotion La douleur.


৩ Ivy-Céleste Applewhite. Anciennement, de son nom de jeune fille : Wittelsbach ৩ trente et un ans ৩ Née à Vienne, en Autriche, et a vécu, une bonne partie de sa vie, là-bas ৩ Elle est enfant unique. Mais, était très proche, fusionnelle, de ses parents, cependant ৩ Sa famille n'a jamais rouler sur l'or. Ils n'étaient guère riches, certes. Mais, n'étaient pas à plaindre, non plus ৩ Sa mère est Écossaise, c'est pourquoi, avec sa famille, elle passait, chaque année, durant les vacances d'été, et visiter, presque, toutes les régions. Du moins, jusqu'à ce que son état de santé se détériore... ৩ Désormais, sa mère subit d'importantes opérations, pour survivre. Financer, par le mari, de la douce blonde. Quant à son père, il est mort, lorsqu'elle fut âgée de quinze ans ৩ Cela paraît d'autant plus étrange, il est vrai, mais Ivy n'a jamais été une grande frileuse. Au contraire, à moins de zéro - un degré, vous pouvez la voir se balader en robe légère. Comme si c'était la canicule. Cela lui a valu, parfois, pour certaines gens, de la regarder, avec les yeux écarquillés. Toutefois, en été, à plus de vingt-quatre degrés, cela devient intolérable, pour elle. Cette dernière n'arrive à supporter la chaleur. Si elle s'écoutait, elle s'enfermerait dans un frigidaire ! C'est une Jon Snow dans l'âme, cette petite ৩ On l'a beaucoup charriée, durant sa préface d'adolescence, parce que la demoiselle est née la veille de Noël. D'où le fait qu'on la surnommait, tout le temps, la « Mère Noël » tout bonnement... Pour autant, ce n'est guère ce genre de choses qui blessait cette dernière. Bien au contraire ! ৩ Ses autres surnoms sont : Fleur empoisonnée, Celi. Petit ange, tigresse. Ainsi, qu'exceptionnellement, Docteur House, auprès de son époux. Bien qu'elle ne l'aime point spécialement... ৩ Depuis toute petite, elle adore, tout ce qui touche à l'artistique, ainsi qu'à la danse. Principalement, sur du classique. Ou bien, la valse. Valeurs Autrichiennes, oblige ! Par ailleurs, depuis toute petite, elle s'y adonnait volontiers. C'était son rêve, sa passion, incontesté ৩ Elle n'a jamais eu beaucoup d'amis, car, dans le fond, ils la trouvaient étrange... ৩ Vers l'âge de l'adolescence, alors que la blondinette sortait de la salle de danse, en compagnie de sa meilleure amie, de l'époque, afin de la sauver, alors que la demoiselle ne regardait la route, pour traverser... Voyant une voiture débouler de nulle part, Céleste, se décida à la sauver, in-extrémiste. Malheureusement, c'est elle, qui, naturellement, en pris le coup. L'impact ৩ Elle fut sauvée, certes, mais dû subir de nombreuses opérations. Surtout, en ce qui concerne sa jambe droite, afin de ne point la perdre ৩ Aujourd'hui, encore, il ne lui reste qu'une sombre cicatrice, qui lui procure, quelques douleurs, lorsque l'humidité, la pluie, menace de poindre ৩ À cause de cela, il lui arrive, par moment, de boiter, même. Mais, cela ne reste que passager... ৩ Son cher Montgomery s'en moque, s'amuse à ses dépens, concernant ce fait. Un peu, comme Hugh Laurie, dans la série, chaque année, en période de fête, il lui offre des cannes, de toute sorte. Pourtant, ils finissent, bien rapidement, au grenier de leur immense demeure...  ৩ A la suite de cet événement traumatisant, la jeune Autrichienne, s'est trouvé une autre vocation, concernant son métier... Elle est décoratrice d'intérieur, en chef ৩ Elle est très minutieuse, observatrice, et tente toujours, d'anticiper le désir, le besoin des gens ৩ C'est avec son meilleur ami d'enfance et partenaire de danse qu'elle a perdu sa virginité, lorsqu'elle fut adolescente. Afin que cela ne tombe point sur le premier venu, qui aurait pusse, dans l'éventualité, l'a blessée... Malgré le fait qu'il soit gay ৩ Au risque de paraître arrogante, surfaite. Totalement clichée, Céleste est très porté sur le physique des petites gens. Il faut que tout soit parfait. C'est d'ailleurs un attrait, un atout, de sa personnalité, que son mari déteste... Il lui porte, déjà, peu d'estime, d'affection à son égard, certes. Mais cela, il en est incroyable... Cela le rend totalement fou - fou à lier. Pourtant, il se veut dans l'obligation de s'entretenir. Elle y veille bien au grain... ৩ A ses heures perdues, la douce blonde s'est portée volontaire, depuis trois ans, environ, en tant que professeur de danse classique. Pour ainsi, apprendre certains pas de danse, de mouvement, à un jeune groupe d'enfants. Elle en compte, à peu près, une quinzaine, depuis. Pour Ivy, elle les considère, un peu, comme sa famille. Ses propres enfants, d'une certaine manière. Elle sera toujours présente, pour ces charmantes demoiselles. Quoi qu'il lui en coûte. Par ailleurs, elle se donne à cœur joie, de les chouchouter, leur faire plaisir. Au grand désarroi de sa dite, douce et tendre moitié... ৩ Les cours, se déroulent, généralement, tous les jeudis, vers dix-sept heures trente - dix-huit heures. Hors vacances scolaires, évidemment ৩ Le mercredi, elle se procure un moment de détente, tout en donnant des cours pour adultes, de yoga, afin de décompresser ৩ Lors d'événements, de soirées de gala... Surtout, depuis son tragique accident, Ivy n'est du genre à vouloir se déhancher sur la piste de danse. C'est pourquoi, elle refuse, décline, catégoriquement, toute proposition, qu'il soit. Y compris, son mari... En réalité, elle craint de trébucher. De déchirer ses robes, dans la volée. De faire tomber le serveur, qui renverserait son plateau, sur quelques convives, avant de tomber, lourdement au sol. Se blessant, tout autant... Oui, elle le sait, sciemment, qu'elle deviendrait, bien rapidement, maladroite... Ironique, l'image... N'est-ce pas ? ৩ Malgré le tempérament de son mari, Céleste désirerait fonder une famille, un jour. Mais, certainement point, avec lui... En réalité, elle lui cache, depuis plusieurs années, déjà, qu'elle est encore sous pilule... Toutefois, elle ne pourrait supporter l'idée même, qu'il s'en prenne à leur enfant, si c'est une fille. Et, qu'il en fasse un monstre, comme lui, si c'est un garçon. Elle en a parfaitement, conscience, que c'est malsain, de lui faire cela. De n'autoriser, un tel bonheur. Ne serait-ce que pour cette dernière. Elle s'en veut, terriblement, par ailleurs. Mais elle ne pourrait se le pardonner, de ne pouvoir protéger sa propre chair. Son sang, de son sang, dans le cas contraire... ৩ Toutefois, si cela s'avérait, arriver, un jour. Dans un monde meilleur, qui sait... Si cela demeurait une fille, elle voudrait l'appeler Camélia, ou bien, Padmé. Non, ce n'est point, pour la référence à « Star Wars. » Loin de là... Ce prénom, signifie, en réalité : « Fleur de Lotus. » En raison, que, c'est l'une de ses fleurs favorites. Et, John, si c'est un garçon. Car, elle voue un culte particulier, pour les poètes, tels que John Keats, ou encore, John Clare ৩ Cela fait, désormais, cinq années, consécutives. Presque, six, qu'elle vit, avec son époux, à Melbourne ৩ Ivy n'aime guère parler de sa famille, son passé. Encore moins, ce que lui fait subir son époux. Par conséquent, peu de personnes, sont, réellement, au courant de tout cela. Elle demeure mystérieuse, auprès des autres. De toute manière, elle n'a guère d'autre choix, que d'agir, comme cela... ৩ Malgré tout, sous cette apparence trompeuse, la douce blonde, est avenante, bienveillante. À l'écoute, protectrice. Un brin glamour, fragile, même. Disons, qu'il faut, réellement, l'analyser. Rentrer, dans son cercle d'amis, pour le remarquer ৩ Céleste se revendique, totalement, polyglotte ! En effet, elle sait, pertinemment, parler : Le gaélique écossais. L'italien. Sa langue d'origine, naturellement. L'anglais, ainsi, que le mandarin ! Dernièrement, elle sait, même, mise aux langages des signes ! ৩ Depuis, que cette dernière, a retrouvée, la douce présence, en compagnie, de son époux, du séduisant, ténébreux, Lewis Laidlaw, elle doit se l'avouer, qu'il la trouble, la déconcerte, irrévocablement. Officiellement, il demeure un bon ami. Probablement, le seul, qu'elle n'est jamais eue, en dépit qu'il soit l'époux de sa cousine. Elle le trouve loyal, avenant. Attentionné, protecteur. Un poil, romantique, malgré son franc-parler. Son caractère, fort bien trempé. Mais, dans le fond, cela ne lui déplaît, il est vrai. Il est son pilier, la prunelle de ses yeux. Elle ne sait, ce qu'elle serait, sans lui... Dans les épreuves, qu'elle traverse, en particulier, auprès de Monty. C'est lui, encore et toujours, qui n'a de cesse, que de l'encourager. L'aider à tenir bon, dans ce monde, qui croule sous ses pas... Toutefois, leur nature se veut, parfaitement, platonique. Du moins, publiquement ! Officieusement, cet homme, lui fait tant d'effet. Elle pourrait, irrémédiablement, s'en damner. Cela ne lui déplait, qu'il la convoite, à longueur de journée. Elle souhaiterait, de toute son âme, qu'il soit à elle. Qu'il ne puisse appartenir, à nul autre, qu'elle seule, tout comme elle lui appartiendrait, en retour. Pour lui, elle serait prête à tout ৩ Elle tente, vainement, de réfuter, refréner, ses pulsions. Ses brûlantes passions. D'autant plus, qu'elle sait, parfaitement, du risque qu'elle encourt. Auprès de lui, de son mari, qui a, bel et bien, fini, par l'apprécier. Le considérer, même, comme un membre de la famille, qui plus est. La douce blonde, sait que c'est mal. Que ça ne présagerait, jamais, rien de bon. Mais c'est plus fort qu'elle... Elle arrive, de moins en moins, à se contrôler, à ses iris bleutés ৩ Après chaque relation sexuelle, elle ne saurait expliquer cela, mais, irrémédiablement, des fourmilles, vinrent la chatouiller, la titiller, inlassablement, durant quelques longues minutes, durant, sur ses petits pieds... Si, a la base, cela l'a gênée, désormais, cela lui est, parfaitement, indifférent, il est vrai... Elle attend, juste, que cela passe, tout simplement... ৩ Son point faible ? Les tendres baisers dans le cou. Si un homme, a le malheur, de le faire... Même si, elle tente, vainement, de lui démontrer, que cette demoiselle, ne le désire point. Qu'elle ne veut de cela, avec lui. Lui céder, ainsi, dans les bras. En revanche, son corps s'exprime. En dit tout autrement ! ৩ Amoureusement, elle est une femme délicate, fragile. Romantique, bohème. Elle aime, particulièrement, qu'on lui accorde de l'attention, de l'affection. Qu'on prenne du temps, pour la choyer, prendre soin d'elle. Mais, sexuellement, c'est un tout autre genre... Hormis l'idée, qu'elle ne soit ainsi, avec son mari. Qu'elle ne lui montre sa véritable nature... En revanche, de ce côté, c'est une femme fatale. Une fille sauvage, assez brutale. Elle aime infliger, de doux tourments. Tels que des griffures, des morsures. Des suçons, qui font bien mal, qui sont assez énormes, sur le moment... Elle aime soumettre les hommes, à sa volonté ferme. À ses moindres désirs. Elle les mattes, à sa manière. Toutefois, si ces derniers, se trouvent, parfaitement, à la hauteur de ses espérances, elle n'hésite guère à leur montrer, leur faire savoir, qu'ils peuvent, également, la dominer, de temps en temps. Par ailleurs, elle apprécie, dans de rares moments, que ce soit doux, affectueux, tout autant ! ৩ Elle ne sait pourquoi, également, mais... Elle aime le faire dans des endroits insolites. Elle trouve ça bien plus dangereux, bien qu'excitant, à l'idée de se faire démasquer ! Même, si, il est vrai, que cela, celle-ci, le regretterait, amèrement, aux orbes ténébreux, de Montgomery ৩ Attention : toutefois, elle n'est point dépendante, addict, à cela ! Seulement, elle considère, que les relations sexuelles, doivent rester, avant tout, une partie de plaisir, d'amusement, si possible. Mais, surtout, consentant ৩ Elle a un esprit assez félin, pervers, par ailleurs... Les petits jeux, avec les menottes, le fouet, elle ne manque pas de les sortir ! Encore faudrait-il trouver le bel apollon, qui saurait consentir à cela... ৩ Son moment favori ? Se détendre, autour d'un bon bain brûlant. Dans les bras musclés, d'un homme doux, bon.

৩ Céleste, quand on lui pose une question. Surtout, quand il s'agit de son mari, elle tente de rester neutre. En particulier, quand cela devient embarrassant... ৩ Elle est très protectrice envers ses proches et son entourage ৩ Elle est également possessive, jalouse. Aussi bien en amitié qu'en amour ৩ Elle est du genre compréhensive et tente toujours, de se mettre à la place des autres, pour essayer de saisir leur point de vue ৩ On peut lui faire confiance, et même sous la torture, la jeune demoiselle ne crachera le morceau ৩ Par contre, même si elle n'est pas du genre à étaler ses problèmes et sa vie privée, on peut facilement la faire céder, en lui donnant du chocolat ৩ Contrairement à son mari, elle adore la cuisine mexicaine. Et, davantage, italienne ৩ Elle a une belle petite collection de vinyles, ainsi que de Penny Dreadful ৩ Céleste est une maniaque de la propreté ৩ Elle à une peur bleue des poupées de porcelaines, depuis toute petite ৩ Elle raffole des glaces à la vanille, avec de la sauce chocolat par-dessus. Des glaces à la rose, a la poire. Ou encore, a la mangue ৩ Elle raffole des shamallows chocolatés, des fraises aux chocolats et les litchis ৩ Quand elle se sent triste, elle ne peut s'empêcher de boire du chocolat, suivi de crème chantilly. Et d'une petite touche de cannelle ৩ Elle mange toujours les dragibus noirs, en premier, car, ce sont ses préférés ৩ Elle écoute de tout, mais a une préférence pour le jazz ৩ Cette dernière est allergique à l'ananas, et dès qu'elle sent qu'il y en a, ses yeux gonfles comme des balles de tennis ৩ Ses desserts préférés sont le cheesecake, la crème brûlée. La tarte citron-meringuée, ainsi que le crumble ৩ Elle déteste les champignons ৩ Celle-ci adore s'endormir avec le bruit de la pluie. Ça la berce ৩ Quand elle est gravement souffrante, elle ne peut s'empêcher de regarder « Singing in the rain » , « Hello Dolly » ou, encore, « Age of Adaline. » Étrangement, ce sont des films qui l'aide à se sentir mieux ৩ Si vous désirez marquer des points. Tenter de la séduire, en l'invitant, par exemple, au cinéma, misez, plutôt, sur des films d'épouvante, de science-fiction. Ou encore, de comédies musicales. Et, surtout, épargnez-lui, les cinématographies, sur la guerre, les drames. Ou pire encore, les comédies romantiques. Surtout cela... Vous auriez le malheur, qu'elle vous gifle d'emblée, avant même de fuir, en toute hâte. Les romances, dans ce genre, elle trouve cela surfait, niais à souhait. D'autant plus, que, la réalité, ne se présente guère comme cela. Croyez-le ou non, elle a déjà un vécu ! ৩ Elle adore les animaux et serait tout à fait prête à les défendre, contre la maltraitance ৩ Quand un être proche, un ami, ou, ne serait-ce, qu'une simple connaissance, à envie d'en savoir un peu plus, a son sujet. Du moins, en amour, celle-ci a tendance à se braquer. Voulant, quelques-fois, s'enfuir, dans la hâte. Voir, à devenir un poil agressif. En bref, elle est toujours en train de se refermer, comme une huître - toujours sur la défensive. Elle finit par s'en vouloir à force, de tout gâcher. Elle pourrait bien avouer la vérité, oui... Le souci qui l'incombe, c'est que la blondinette n'aime guère aborder le sujet. Ne serait-ce qu'un simple souvenir, de ce sombre et triste passé. Elle souhaiterait, sincèrement, qu'il disparaisse, à jamais, dans les méandres de l'oubli... ৩ C'est une fan, inconditionnelle, des compositions florales. Par ailleurs, si elle en met, que ce soit dans son cabinet, chez les clients. Chez elle, par exemple, cela varie, en fonction, de ses humeurs, son ressenti. Ses sentiments. Ou, tout simplement, pour faire savoir, ce que cela signifie... Faire saisir, à la personne, à qui elle en offre, par plaisir, ce que qu'elle ressent, à l'égard d'un proche, d'une personne, après sa première rencontre, sa chute. L'effet, qu'elle lui fait... Parmi ses favorites, se trouvent : la rose rouge. Pour elle, cela signifie, naturellement, la passion. Pour éveiller le désir, chez l'être aimé. La blanche, pour la pureté, l'innocence. Le lys blanc, pour démontrer, ce qu'elle désire... En particulier, la relation amoureuse, qu'elle demeure chaste. La primevère, pour transmettre, ainsi, avec grâce et délicatesse, les premiers frissons amoureux. Moins téméraire, le lilas, lance une invitation, plus subtile, à découvrir les joies de son amour. Son parfum enchanteur, saura amadouer la personne convoitée, pour lui suggérer une relation fidèle et durable. Autre éloge, de son corps, l'amaryllis ne manque point de générosité et sait déployer ses plus beaux atouts, pour se montrer irrésistible. L'objectif érotique, est, ici, clairement affiché et c'est avec une certaine assurance, que la fleur s'impose : "Ne me résiste pas !" En matière de conquête, les fleurs ne sont avares, en compliments... La glycine, délivre un message, sans équivoque, pour Grace : "Tu me céderas, de gré ou de force !" En cas de coup de foudre ou si l'être convoité, est un homme, la conquête sera confiée au gerbera. Relativement récente, dans le paysage végétal, cette fleur gaie et moderne, ensoleille la quête amoureuse : "Tu illumines ma vie !" La tulipe : très proche, de la symbolique, de la rose. Avec ses pétales rouges, la tulipe, transmet ses sentiments, avec beaucoup de naturel et un soupçon d'érotisme : "Sois à moi !" L'aveu d'infidélité, est, quant à lui, attribué à la frivole ancolie. Associée à la folie, depuis le Moyen Âge, cette fleur volage, aux couleurs mélancoliques, traduit le mensonge et l'inconstance : "Bien malgré moi, j'ai perdu la raison !" Le colchique : dans le registre, des larmes, ainsi, que de la jalousie... Si vous vous y connaissez, ne serait-ce qu'un peu. Que vous avez la main verte, il vous sera inutile, de lui poser la question, connaître son ressenti, son émoi. Les fleurs, converseront, diront tout, à sa place ! ৩ Ses planètes : venus, ainsi que le soleil. Traits de personnalités, qui, lui correspondent, à la perfection, elle trouve ৩ Sa pierre précieuse, favorite ? La pierre de lune. C'est, par ailleurs, ce que constitue sa bague de fiançailles. Si, toutefois, son mari, était dans le style surfait, luxueux, des alliances... Désirait, ardemment, fièrement, que la douce blonde, est un caillou, prenant, une majorité de son doigt délicat... Elle a réussi, néanmoins, à combiner. Négocier l'idée, d'y insérer, sa pierre adulée, incruster de petits diamants, scintillant, dans le firmament, à ses double côtés. Ainsi, cela constitue le glamour, le singulier. Illustre symbole de fidélité. Mensonge discret, se reflétant, inlassablement, à ses orbes bleutés... ৩ Elle raffole, tout ce qui touche, a la cérémonie de « Dias De Los Muertos. »


pseudo, prénom :copyright:️ FROZEN-LOVE. pays âge 30 ans. inventé ou prélien? Inventé de toute pièce, mon ami. comment as-tu connu goym? Ma fois, très joli ! Un design épuré, des membres qui ont l'air adorables. Un staff en or, je pense. un dernier mot Je peux vous Violez ? Ah, hum, non... Je peux vous aimer ? :p
Code:
<t>Blake Lively</t> - Ivy-Céleste Applewhite
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    +2, c'est à vos risques et périls... IVY-CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit, aux matines sonnantes, nous valserons ensemble, macabre débutante. 4266939667 IVY-CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit, aux matines sonnantes, nous valserons ensemble, macabre débutante. 2838372472 IVY-CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit, aux matines sonnantes, nous valserons ensemble, macabre débutante. 3169402714
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bienvenue ici !
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MessageSujet: Re: IVY-CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit, aux matines sonnantes, nous valserons ensemble, macabre débutante.   IVY-CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit, aux matines sonnantes, nous valserons ensemble, macabre débutante. EmptyMar 14 Avr - 23:51

    Haann, merci beaucoup ! IVY-CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit, aux matines sonnantes, nous valserons ensemble, macabre débutante. 578948822 IVY-CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit, aux matines sonnantes, nous valserons ensemble, macabre débutante. 2015167344 C'est gentil, ça ! IVY-CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit, aux matines sonnantes, nous valserons ensemble, macabre débutante. 3115796409 IVY-CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit, aux matines sonnantes, nous valserons ensemble, macabre débutante. 921248863 IVY-CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit, aux matines sonnantes, nous valserons ensemble, macabre débutante. 2630092627
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Oui apparemment tu parles beaucoup xD ! Mais c'est un plaisir de te lire, tu fais pas semblant avec ce perso !

Bienvenue !
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ce pavé IVY-CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit, aux matines sonnantes, nous valserons ensemble, macabre débutante. 530179303
bon courage pour remplir ces deux autres posts IVY-CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit, aux matines sonnantes, nous valserons ensemble, macabre débutante. 4266939667
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la belle blake IVY-CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit, aux matines sonnantes, nous valserons ensemble, macabre débutante. 4037789906
bienvenue parmi nous IVY-CELESTE APPLEWHITE + des douze coups de minuit, aux matines sonnantes, nous valserons ensemble, macabre débutante. 3727688401
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